Me Desvignes représente des personnes accusées d’infractions diverses dans plusieurs districts judiciaires, s’intéressant notamment aux infractions contre la personne, contre l’administration de la justice et relatives aux drogues, ainsi que les dossiers impliquant des abus policiers ou procéduraux.

Ayant toujours eu à cœur la défense des droits de la personne, Me Raphaëlle Desvignes pratique presque exclusivement en droit criminel depuis le début de sa pratique. Elle croit fondamentalement à l’importance d’une représentation juste, particulièrement en droit criminel, alors que les enjeux sont des plus élevés, pouvant ainsi porter atteinte à la liberté de l’accusé ou avoir des répercussions majeures sur sa vie future. Cela se reflète dans sa façon de gérer clients et dossiers de tous types. Accordant une grande importance à l’aspect humain des causes qu’elle traite, Me Desvignes tente, lorsque cela s’y prête, d’avoir une approche plus globale de chacune, ses dossiers présentant très souvent des côtés sociaux ou non juridiques qui devraient être considérés. Toujours disponible, elle est résolue à assurer une défense pleine et entière aux accuséEs qu’elle représente et n’a pas froid aux yeux lorsque vient le temps de se battre au front.

En parallèle de sa pratique, Me Desvignes s’implique activement au sein de la communauté juridique et dans le milieu communautaire. Entre autres implications, elle est secrétaire de l’Association des avocats de la défense de Montréal-Laval-Longueuil (AADM), s’y consacrant depuis 2018 à militer pour une plus grande accessibilité à la justice. Elle a également été administratrice au sein de l’Association des juristes progressistes de 2017 à 2019. Elle est bénévole pour la société Elizabeth Fry, dans le cadre du projet Maman me raconte qui permet à des détenues de faire parvenir à leurs enfants des enregistrements audio de leur voix lisant un livre, alors qu’elles sont en prison. Elle donne régulièrement des conférences d’introduction au droit criminel et aux droits en cas d’arrestation, pour différents organismes.

Elle est titulaire d’un baccalauréat en relations internationales et droit international, ainsi que d’un baccalauréat en droit de l’Université du Québec à Montréal.

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